un grain de sable

On 2 septembre 2008 by Art No

 logo-an1.jpg Le poids des années ce lit sur mon visage. La barbe ce fait saillant, les obligations aussi. Je suis à l’aube de mes trente trois ans. La lame de ce rasoir qui m’arrache la peau comme pour me rappeler qu’il est temps de me réveiller. Ce destin si bien construit qu’il en est devenu oppressant. Il lui arrive même de ce défilé. Cette situation me met mal à l’aise de peur de pouvoir la retrouver. Je suis en course contre le temps. Comme des milliers d’être humain. Ma vie se rappelle à moi. On n’est pas dans une mauvaise sitcom. Pourtant j’entant les rires derrière chacun de mes choix. Devant mon miroir, Narcisse sourie, il m’étale ma crème hydratante, ou anticerne je ne sais plus vraiment, peut être les deux d’ailleurs. Cette chère pommade couvre les blessures sans toucher L’âme profonde. J’ancre ma vie autour de cette certitude. Je ne suis pas heureux. Les intense supérieur se gosse de me faire virevolté devant les espoirs, que mon cerveau ose me montrer. Je s’ouvre peu être de la crise de la quarantaine avant l’heure. C’est vrai que les grands causent non jamais flamboyé dans mon cœur. Je ne suis qu’un égoïste… Qui fait le pitre, je vais aujourd’hui une fois encore maitre le masque que seul ce qui vous ont vues naitre, reconnaissent. Pour les autres, je donnerais le change. Ils ne verront que la surface. Ma solitude n’intéresse personne, je dirai même quel fait fuir comme une sorte de maladie transmissible. Les femmes me fuient, mec compliqué, qui fait peur, qui les cerne trop, ou pas assez. Bref, je vais penser à m’envoyé une carte, au moins quelqu’un pensera à moi. Je sourie à narcisse. Je le regarde droit dans les yeux et je lui dis : « Salut toi ! Qu’est ce que t’en dit j’ai la patate se matin. » J’entre voie un sourire cynique. Je repars vers mon quotidien, trois heures de transport en commun, neuf heures de présence magasin, et dodo enfin. Je me demande pourquoi me battre. Pour ceux qui mon vue naitre. Mais pour eux comme pour moi, l’érosion frappe. Parfois je rêve de passer à la trappe, fini le théâtre, la grande illusion, votre magicien du nom de Art No vous salut.

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